MON PEUPLE CHERS
Salento voulait vous que je porte dans mon âme,
parce que vous êtes autant à moi que vos montagnes;
est beau village beau matin,
est si douce brise caresse votre visage.
–
Que mes gens que j'adore les deux,
semble châteaux de conte de fées;
ses tous si petites maisons blanches,
briller comme des diamants dans les montagnes au-delà.
Palma de Cera
Palma de Cera
Là, dans cette ville, je vélin illusions,
J'ai tissé d'illusions optimistes;
J'ai rencontré l'amour qui était la plus belle
et appris à aimer de toute mon âme.
–
Que l'amour ne dure que je n'oublierai pas,
voici bien à l'intérieur, au fond de mon âme;
mes gens comme ça déjà pris racine,
C'est impossible de déraciner.
–
Le jour où mon Dieu m'appelle à mes comptes,
Le terrible sécurisé mi otra Il était le manque;
J'aimais trop c'est sûr,
C'était un oui et punit le péché mi manque.
Et quand j'ai eu ma dernière fois,
J'aurai mon peuple très aimé;
Je vais envoyer mon dernier baiser dans le vent,
ou dans la douce brise du matin, il.
–
! Oh les gens que j'adore !
que je serais sur vos plages;
Je suis tellement loin que je n'ai que,
les beaux souvenirs que j'ai dans mon âme.
Palma de Cera
Tiré du livre
ROSES et des épines
Alicia Rada du Hainaut 6/16/87
Source : http://www.salento.co / site / index.php?f = ver_seccion&SE = 42